Comme l'a dit son porte-parole Michel Brunache, Laurent Lamothe se trouve "CHEZ LUI A MIAMI". Oui. Chez lui. Dans sa "patrie de réserve", comme il en a plusieurs d'ailleurs. Il n'a jamais été arrêté. Encore moins incarcéré par les autorités américaines à Miami. N'a-t-il pas encore été questionné par les responsables du FBI à Miami? Il revient à Laurent Lamothe et à son équipe de propagande de démentir le noeud de l'info qui a entrainé les bruits sur le net à son encontre.
Comment sont partis les rumeurs de soit-disant démêlés juddiciaires à Miami de l'ex-homme fort d'Haiti? Ayant délaissé son avion privé immatriculé N-111 au profit de la ligne commerciale American Airlines accompagné de deux agents apparemment armés, plusieurs passagers à bord ont commencé par spéculer. Les textos ont commencé par inonder certains correspondants. A l'ère des réseaux sociaux, les claviers ont toujours des lettres à tapoter. Pourquoi se munir d'une courverture sécuritaire d'agents armés jusqu'à l'intérieur de la grande compagnie américaine de transport aérien, American Airlines, alors que Laurent "Ti Pétion" Lamothe est redevenu un simple citoyen? Quand on sait que ce privilège est accordé au Premier Ministre en fonction, Lamothe bénéficie-t-il encore de ce droit, trois semaines après sa démission? Le droit d'atterrissage sur le territoire américain de l'avion privé de Lamothe est-il suspendu? Si oui, pour quelles raisons? Quand on se rappelle que cet avion a été impliqué en Octobre dernier dans un scandale de transport de marchandises non-inspectées par les douaniers Haitiens à l'aéroport de Maïs-Gâté. De plus, si le Secret Service, l'agence américaine qui, habituellement prend en charge la sécurité des dignitaires étrangers sur le sol étatsunien, n'assurant plus l'accueil et ne couvrant plus les déplacements de Laurent Lamothe aux USA, peut-on être éclairé sur le droit d'agents de sécurité haitiens ou étrangers (s'ils en sont un) à remplir leur fonction à Miami? De source sûre, le Secret Service s'était habituellement plaint contre les "désordres" de Lamothe qui ne respectait jamais les horaires qu'il les soumettait. Les heures annoncées pour l'atterrisssage de son avion privé connaissaient toujours de longs décalages, ce qui constituait un cahier de récriminations, apprend-on.
Lamothe est-il dans le collimateur de la justice américaine? L'intéressé ne saurait personnellement le nier. D'abord, ses démêlés avec le Bureau des Revenus américains (IRS) pour sa compagnie Global Voice, devient un dossier que les autorités américaines sont en train de sortir du congélateur... pour évasion fiscale. Jusqu'avant d'avoir laissé Port-au-Prince, Lamothe est actuellement le seul protagoniste d'un dossier d'achat illégal d'armes qui n'a pas encore été interrogé par les autorités américaines. Ces dernières étant, du fait d'un mandat de l'ONU, monitorant l'embargo sur les armes en Haiti, ont déjà interrogé un des bras droits de Laurent Lamothe en Haiti, Salim Succar et le directeur général de la PNH Godson Aurélus dans le cadre de ce dossier. En effet, Ti Pétion Lamothe devrait se rendre en visite officiel en Israel en Novembre dernier. L'objectif réel de ce voyage était de s'approvisionner et négocier la livraison par étapes de plusieurs cargaisons d'armes. Ayant renoncé à ce voyage à cause de la situation qui s'envenimaient sur le terrain, seuls les nommés Salim Succar et Godson Aurélus avaient pris la route en direction de Tel-Aviv. Constatant qu'il a été pisté, le DG de la PNH avait rebroussé chemin. Mais, il a été "debreiffé" chez lui en Haiti par des officiels états-uniens.
Les responsables américains ont suivi à la loupe les mouvements de Ti Pétion Lamothe, un escroc patenté, dont les ambitions présidentielles lui rendent de plus en plus, comme une bête dangereuse. Sur le chemin qui doit le conduire au Palais National, il a déjà exploré les couloirs criminels. En choisissant d'équiper en fusil-mitrailleurs de type Galil, les unités spécialisés de la PNH avec la complicité de Godson Aurélus (il s'est bien "rosé" entre temps, l'épiderme artificiellement éclaircie du directeur de la PNH en témoigne) Laurent Lamothe se veut le nouveau DON du pays. Comment? 1) En constituant une milice à sa solde au sein de la PNH, 2) en réarmant les gangs des bidonvilles sous le nez de la MINUSTAH. Le but évident est de detenir le vrai monopole de la violence autorisée et parallèle, lors des prochaines élections en Haiti, afin d'établir un contrôle de longue durée sur les destinées du pays. Aux dernières nouvelles, Ti Pétion était en train de négocier avec les gangs de la ceinture de Drouillard-Cité Soleil où doivent être placés un nombre élevé de bureaux de votes totalisant 20 pour cent de l'électorat de Port-au-Prince.
Comment sont partis les rumeurs de soit-disant démêlés juddiciaires à Miami de l'ex-homme fort d'Haiti? Ayant délaissé son avion privé immatriculé N-111 au profit de la ligne commerciale American Airlines accompagné de deux agents apparemment armés, plusieurs passagers à bord ont commencé par spéculer. Les textos ont commencé par inonder certains correspondants. A l'ère des réseaux sociaux, les claviers ont toujours des lettres à tapoter. Pourquoi se munir d'une courverture sécuritaire d'agents armés jusqu'à l'intérieur de la grande compagnie américaine de transport aérien, American Airlines, alors que Laurent "Ti Pétion" Lamothe est redevenu un simple citoyen? Quand on sait que ce privilège est accordé au Premier Ministre en fonction, Lamothe bénéficie-t-il encore de ce droit, trois semaines après sa démission? Le droit d'atterrissage sur le territoire américain de l'avion privé de Lamothe est-il suspendu? Si oui, pour quelles raisons? Quand on se rappelle que cet avion a été impliqué en Octobre dernier dans un scandale de transport de marchandises non-inspectées par les douaniers Haitiens à l'aéroport de Maïs-Gâté. De plus, si le Secret Service, l'agence américaine qui, habituellement prend en charge la sécurité des dignitaires étrangers sur le sol étatsunien, n'assurant plus l'accueil et ne couvrant plus les déplacements de Laurent Lamothe aux USA, peut-on être éclairé sur le droit d'agents de sécurité haitiens ou étrangers (s'ils en sont un) à remplir leur fonction à Miami? De source sûre, le Secret Service s'était habituellement plaint contre les "désordres" de Lamothe qui ne respectait jamais les horaires qu'il les soumettait. Les heures annoncées pour l'atterrisssage de son avion privé connaissaient toujours de longs décalages, ce qui constituait un cahier de récriminations, apprend-on.
Lamothe est-il dans le collimateur de la justice américaine? L'intéressé ne saurait personnellement le nier. D'abord, ses démêlés avec le Bureau des Revenus américains (IRS) pour sa compagnie Global Voice, devient un dossier que les autorités américaines sont en train de sortir du congélateur... pour évasion fiscale. Jusqu'avant d'avoir laissé Port-au-Prince, Lamothe est actuellement le seul protagoniste d'un dossier d'achat illégal d'armes qui n'a pas encore été interrogé par les autorités américaines. Ces dernières étant, du fait d'un mandat de l'ONU, monitorant l'embargo sur les armes en Haiti, ont déjà interrogé un des bras droits de Laurent Lamothe en Haiti, Salim Succar et le directeur général de la PNH Godson Aurélus dans le cadre de ce dossier. En effet, Ti Pétion Lamothe devrait se rendre en visite officiel en Israel en Novembre dernier. L'objectif réel de ce voyage était de s'approvisionner et négocier la livraison par étapes de plusieurs cargaisons d'armes. Ayant renoncé à ce voyage à cause de la situation qui s'envenimaient sur le terrain, seuls les nommés Salim Succar et Godson Aurélus avaient pris la route en direction de Tel-Aviv. Constatant qu'il a été pisté, le DG de la PNH avait rebroussé chemin. Mais, il a été "debreiffé" chez lui en Haiti par des officiels états-uniens.
Les responsables américains ont suivi à la loupe les mouvements de Ti Pétion Lamothe, un escroc patenté, dont les ambitions présidentielles lui rendent de plus en plus, comme une bête dangereuse. Sur le chemin qui doit le conduire au Palais National, il a déjà exploré les couloirs criminels. En choisissant d'équiper en fusil-mitrailleurs de type Galil, les unités spécialisés de la PNH avec la complicité de Godson Aurélus (il s'est bien "rosé" entre temps, l'épiderme artificiellement éclaircie du directeur de la PNH en témoigne) Laurent Lamothe se veut le nouveau DON du pays. Comment? 1) En constituant une milice à sa solde au sein de la PNH, 2) en réarmant les gangs des bidonvilles sous le nez de la MINUSTAH. Le but évident est de detenir le vrai monopole de la violence autorisée et parallèle, lors des prochaines élections en Haiti, afin d'établir un contrôle de longue durée sur les destinées du pays. Aux dernières nouvelles, Ti Pétion était en train de négocier avec les gangs de la ceinture de Drouillard-Cité Soleil où doivent être placés un nombre élevé de bureaux de votes totalisant 20 pour cent de l'électorat de Port-au-Prince.
Norluck Dorange
No comments:
Post a Comment